CALCIPRAT 750 mg, comprimé à sucer, boîte de 1 flacon de 60

Dernière révision : 07/06/2017

Taux de TVA : 2.1%

Prix de vente : 5,29 €

Taux remboursement SS : 65%

Base remboursement SS : 5,29 €

Laboratoire exploitant : ALFASIGMA FRANCE

Source : Base Claude Bernard
- Carences calciques notamment en période de croissance chez les enfants, de grossesse et d'allaitement.
- Traitement d'appoint des ostéoporoses (séniles, post-ménopausiques, sous corticothérapie, d'immobilisation lors de la reprise de la mobilité).
- Hypersensibilité à l'un des constituants.
- Hypercalcémie, hypercalciurie, lithiase calcique, calcifications tissulaires.
- Immobilisations prolongées s'accompagnant d'hypercalcémie et/ou d'hypercalciurie : le traitement calcique ne doit être utilisé qu'à la reprise de la mobilisation.
- Phénylcétonurie, en raison de la présence d'aspartam.
MISES EN GARDE :
- En cas d'insuffisance rénale, contrôler régulièrement la calcémie et la calciurie et éviter l'administration de fortes doses.
- L'administration conjointe de calcium et de vitamine D doit être faite sous stricte surveillance médicale (voir interactions).
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
En cas de traitement de longue durée, il est nécessaire de contrôler la calciurie et de réduire ou d'interrompre momentanément le traitement si celle-ci dépasse 7,5 mmol/24 h (300 mg/24 h) chez l'adulte ; 0,12 à 0,15 mmol/kg/24 h (5 à 6 mg/kg/24 h) chez l'enfant.
- Possibilité de troubles digestifs de type constipation, flatulence, éructations, nausées.
- Hypercalciurie, hypercalcémie (exceptionnellement) en cas de traitement prolongé à fortes doses.
- Risque d'hypophosphatémie.

SURVEILLANCE du traitement :
- L'administration conjointe de calcium et de vitamine D doit être faite sous stricte surveillance médicale de la calcémie et de la calciurie.
- En cas de traitement de longue durée et/ou d'insuffisance rénale, il est nécessaire de contrôler la calciurie et de réduire ou d'interrompre momentanément le traitement si celle-ci dépasse 7,5 mmol/24 h (300 mg/24 h) chez l'adulte, 0,12 à 0,15 mmol/kg/24 h (5 à 6 mg/kg/24 h) chez l'enfant.
- Chez la femme enceinte, la dose journalière ne doit pas dépasser 1500 mg de calcium.

EN CAS DE TRAITEMENT PROLONGE OU INSUFFISANCE RENALE : faire contrôler le taux de calcium dans les urines et dans le sang.

Sans objet.

ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques : l'administration orale de calcium, surtout si elle est associée à la vitamine D, augmente la toxicité des digitaliques, avec risque de troubles du rythme graves.
Surveillance stricte électrocardiographique ainsi que de la calcémie.
- Tétracyclines par voie orale : il est recommandé de décaler d'au moins 3 heures la prise de calcium (interférence possible au niveau de l'absorption des tétracyclines).
- Vitamine D à fortes doses : un contrôle hebdomadaire de la calciurie et de la calcémie est indispensable.
- Bisphosphonate ou fluorure de sodium : il est conseillé de prendre le calcium à distance de l'une ou l'autre de ces thérapeutiques.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
Diurétiques thiazidiques : il existe un risque d'hypercalcémie par diminution de l'élimination urinaire du calcium.
Les comprimés sont à sucer.
Adulte : carences calciques en général et traitement d'appoint des ostéoporoses : 1 à 1,5 g/jour, soit 1 à 2 comprimés à 750 mg par jour.
Enfant : carences calciques en période de croissance : 500 mg à 1 g par jour, soit en moyenne 1 comprimé à 750 mg par jour.
Durée de conservation :
3 ans.

Sans objet.

Symptômes : soif, polyurie, polydipsie, nausées, vomissements, déshydratation, hypertension artérielle, troubles vasomoteurs, constipation. Chez le nourrisson et l'enfant, l'arrêt de croissance staturopondérale peut précéder tous les signes.
Traitement : arrêt de tout apport calcique et vitaminique D, réhydratation et, en fonction de la gravité de l'intoxication, utilisation isolée ou en association de diurétiques, corticoïdes, calcitonine, dialyse péritonéale.
Apport calcique. Médicament actif sur le bilan de calcium.
(A : appareil digestif et métabolisme).
La concentration importante en calcium de chaque unité de prise facilite l'absorption d'une quantité de calcium suffisante, avec un nombre de prises limité et modulable en fonction des indications.

Après administration orale, le carbonate de calcium est principalement absorbé dans la partie haute de l'intestin à raison de 30 à 40% de la dose ingérée.
Le calcium est éliminé par la salive, la bile et les sécrétions pancréatiques, intestinales et sudorales.
Le calcium urinaire dépend de la filtration glomérulaire et du taux de réabsorption tubulaire du calcium.
Sans objet.

Sans objet.

Sans objet.

Sans objet.
Comprimé à sucer rond blanc.